{:fr}J’arrive par le bus ce lundi en fin d’après-midi dans la ville coloniale ensommeillée et romantique de Popayán, qui est aussi surnommée « la ville blanche de la Colombie ». Elle est la capitale du département du Cauca au sud-ouest de la Colombie. Les meilleurs architectes et artisans de l’époque coloniale sont intervenus à Popayán, qui est, avec Carthagène des Indes, l’une des villes les plus importantes de Colombie pour son architecture style coloniale.
A la descente du bus à Popayan j’entre dans un café, histoire de prendre mes repères pour mon séjour et de trouver aussi un endroit pour passer la nuit, si possible dans un hôtel ou hostel le plus proche de la station de bus.
J’interroge celui qui semble être le patron du café sur les bons plans locaux possibles, en posant les habituelles questions : Quels sont les sites incontournables de la ville de Popayán à ne pas louper? et les événements du moment dans la ville? Réponse rien de plus que ce que je savais déjà… Mais c’est un client du café au teint basané, chapeau de paille vissé sur la tête, assis à une table toute proche, arrosée par la lumière du soleil couchant d’une fenêtre donnant sur la rue, qui me donna une réponse pleine d’inspiration et d’espoir: Tu es photographe amigo?
Pris de cours par cette question, je lui répondis :Non, pas exactement, je suis un touriste et j’aime bien les belles photos…
Alors répliqua-t-il : Va demain matin au marché de Silvia à 1 heure de route. Tu y verras la communauté indigènes Guambiano, ils viennent à Silvia depuis les collines environnantes pour acheter et vendre de la nourriture, des vêtements et d’autres fournitures.
J’avais entendu parler de cette ethnie et je pensais bien en rencontrer quelques uns à Popayán, mais bon, je pris mon conseiller au mot, j’irai demain à Silvia en chivas si possible bien sûr…
Mardi, je me lève de bonne heure très excité à l’idée d’aller à Silvia, je prépare très soigneusement tout mon matériel photo, vérification de la mise en route de mon appareil, contrôle des réglages, la batterie est chargée, les batteries de secours et les cartes mémoires sont dans ma poche latérale en cas où…l’appareil numérique de secours est dans mon sac à dos, je suis prêt à me lancer dans l’aventure.
Je prends mécaniquement un petit déjeuner, l’esprit déjà ailleurs, à Silvia, ensuite je saute dans le chiva direction le marché. Chemin faisant le bus se rapproche de Silvia… et le spectacle commence sur la route. Un spectacle avec un seul spectateur… « Moi »… les autres passagers ne prêtent pas une seule seconde attention à ce qui se passe à l’extérieur…. La routine pour eux quoi….
Le bus s’arrête près de la place principale à proximité du marché. Face à moi, un tableau de Guambianos en chapeau en feutre noir, leurs capes azules et jupes noires avec un liseret rose, D’autres arrivent et déferlent vers le marché couvert, en très peu de temps ils ont inondé la ville. Les Guambianos parlent leur propre langue et sont connus en Colombie pour maintenir vigoureusement leurs traditions, un autre monde quoi…
Même en demandant poliment et en étant souriant difficile de prendre des photos, je ne comprends pas les réponses faites et tant mieux, en revanche les épluchures d’orange jetées en ma direction sont une indication, c’est non pour la photo…
Heureusement ils ne sont pas les seuls sur le marché. En effet, plus bas dans les montagnes, des communautés environnantes comme les Paeces ou Nasas, un peuple indigène qui porte la robe plus moderne est moins susceptible et surtout plus coopératif lorsque vous pointez l’objectif sur eux.
De retour sur la place principale, je suis appelé par des guides locaux qui me proposent en échange d’un pourboire de me guider à travers le marché et le centre ville. C’est Oscar Balmaceda, un homme de 70 ans environ natif de Silvia qui a retenu mon attention. Nous voici partis pour une tournée dans Silvia.
Nous sommes allés tout d’abord au cabildo du Paeces, où je trouvai non seulement des tables, des chaises et des ordinateurs, mais aussi des cellules de prison. Il y avait aussi un vieux Pilori, l’un de ces engins de bois qui bloquent la tête et les bras d’un criminel en place publique pour l’humiliation et parfois pour le fouet. Oscar Balmaceda m’explique que les groupes autochtones en Colombie ont leurs propres systèmes de justice et que le piloris était encore fréquemment utilisé.
Dans le bureau de la Guambianos, Jesús María Aranda le responsable du bureau et Oscar Balmaceda discutent, une invitation pour le déjeuner hebdomadaire du cabildo lui est faite, je suis aussi invité, le déjeuner se tient dans un terrain vague herbeux près de la place. Oscar Balmaceda a définitivement gagner son pourboire.
Quelques heures plus tard, j’échange avec les Guambianos, devant une soupe et de l’agua de panela, une boisson chaude sucrée. Ai-je immédiatement sympathisé avec tout le monde? Non . j’ai essayé pourtant de discuter avec le plus grand monde et d’apprendre tout au sujet de leur culture…Mais je sentai planer sur mes épaules le poids de la méfiance que reflète l’étrange étranger… D’autant plus que j’avais dû probablement commettre indubitablement une douzaine de fautes sociales envers eux sans le savoir…
Ce que j’ai retenu c’est qu’il y a eu un processus social et historique qui a généré plusieurs affrontements entre communautés paysannes et indigènes dans la région de Silvia et Popayan. En effet, il y a quelques années, les communautés autochtones de Cauca se sont battues pour la reprise du territoire et la mise en valeur des terres, qui disent-ils leur appartenaient avant l’arrivée des conquistadors en Amérique.
Ce conflit a été généré par la contrariété vécue par les autochtones de la présence d’un autre système de production économique, sociale et culturelle et par le métissage entre Blancs et Indiens de plus en plus important qui a eu tendance à gommer leur identité.
Le résultat des luttes étant avant tout destiné prioritairement à la survie de leur identité, dès lors de nombreux communautés autochtones ont commencé à se développer socialement et culturellement de différentes façons, avec une conception continue de l’identité autochtone. Ce processus continue à se perpétuer aujourd’hui et est symbolisé par le maintien vigoureusement de leurs traditions, parmi ces groupes nous retrouvons les Paeces (Nasa) et les Totoroes.
J’ai passé ce soir-là et le lendemain à Popayán, connue en Colombie comme la ville blanche pour son architecture coloniale blanchie à la chaux. Popayán, est une ville moderne fonctionnant au milieu d’une architecture séculaire.
J’ai combiné mes errances architecturales avec une recherche de plats culinaires de Popayán, notamment les empanadas de pipian, les empanadas de maïs remplis d’une pâte à base d’arachide et souvent servis avec une sauce épicée aux arachides.
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Dans les dernières décennies de 1980 à 2000 la Colombie était synonyme de cartels de la cocaïne, des enlèvements et de la corruption. Son étoile de « Narco – État » a brillé de mille feux dans la galaxie des pays de l’Amérique latine. La mort du seigneur de la drogue Pablo Escobar en 1993 a sonné le renouveau, qui a atteint une nouvelle étape en 2016 avec la signature d’un accord de paix entre le gouvernement et les rebelles des Farc, mettant fin à ce qui était la guerre la plus longue dans l’hémisphère occidental. Les gens se rassemblent sur la place principale de Bogota pour célébrer l’accord de paix historique. La capitale conserve encore quelques quartiers peu sûrs – la vieille ville notamment n’est pas un endroit fait pour errer la nuit – mais la journée ce sont des moments excitants à vivre dans cette ville renaissante. Des nouveaux restaurants, hôtels haut de gamme et les brasseries artisanales fleurissent à travers Bogotá, et les entrepreneurs investissent dans des locaux sur le prix de la paix du pays retrouvée. Pendant ce temps, les guides touristiques de la ville offrent des excursions guidées avant-gardistes à vélo ou à pied, qui couvrent tous les domaines ; de l’architecture à la politique, en passant par la culture et la gastronomie. « Bonjour, bienvenue dans notre ville », a crié un passant, quand je me suis rendu à Medellín récemment. « Merci d’être venu. » Ces salutations ne sont pas rares dans la deuxième ville de Colombie, qui était jusqu’à récemment le point zéro dans la guerre contre la drogue. Les souvenirs s’attardent, mais Medellín est une ville renaissante: le tourisme en particulier surf sur le passé, voir les circuits proposés dans les Barrios jadis tenus par les narco de Escobar. L’art aussi avec les circuits des lieux comme la Plaza Botero ou le quartier Comuna 13 (Tour graffitis) et enfin un réseau nouveau de téléphérique impressionnant qui ont contribué à inverser la fortune de cette métropole déchirée, qui, en 2013, a été élue « Ville la plus innovante du Monde ». La décision de Bogotá de dépénaliser les graffitis en 2011 a marqué une nouvelle époque de la création de la ville, dont les survols, immeubles de bureaux et les murs publics municipaux sont devenus des toiles pour certains artistes de rue les plus proches de la population. Les tours de la ville apportent un contexte à certains des peintures murales les plus célèbres de Bogotá, qui sont potentiellement menacés. En effet, le nouveau maire lance une répression contre les graffitis. Le joyau de la couronne de la Colombie, Carthagene est l’une des villes coloniales les plus exquises en Amérique latine. Niché sur la côte caraïbe, sa beauté masque une vérité laide: Elle a été construite sur l’or et sur l’esclavage. Pourtant, elle reste une destination exceptionnelle; un endroit où les fleurs colorées et des bougainvilliers embellissent les balcons et les façades des rues, où les amateurs regardent les couchers de soleil des remparts de la ville; où les chevaux et les charrettes se font entendre dans les rues; et où les flashs des touristes dansent sur de jolies places publiques. Cartagena est l’une des villes coloniales en Amérique du Sud des mieux conservées Construite près de 650 ans avant Machu Picchu au Pérou, Ciudad Perdida a été redécouvert en 1976. Rien d’étonnant elle est restée perdu depuis si longtemps: cette ville antique est cachée dans la jungle dense au sommet de la Sierra Nevada de Santa Marta, une randonnée de 4 à 5 jours de la plus proche ville. Trekking aux ruines de cette ville mystérieuse est l’une des aventures les plus enrichissantes de la Colombie, mais pas pour les plus timorés. Ciudad Perdida Machu Picchu est antérieure, mais il est beaucoup plus difficile à atteindre. La ville méridionale de Cali a la distinction honorable d’être la capitale de la salsa colombienne. Les clubs locaux sont centrés autour du Barrio Juanchito et ont tendance à commencer l’échauffement dans les premières heures du matin. La robe vive des danseuses vous attend pour vous faire balancer les hanches jusqu’au lever du soleil. Cali est l’endroit où aller si vous voulez secouer votre truc à la salsa En raison de son inaccessibilité relative, Mompox a été largement contournée par les touristes, mais il faut faire un effort pour la voir, elle en vaut le détour. Non seulement cette ville endormie est un lieu de beauté, avec son architecture bien conservée et son emplacement au bord de la rivière bien protégée, mais elle a aussi été l’inspiration du dernier roman réalisme et magique de Gabriel Garcia Márquez, Cent ans de solitude, dont la prose merveilleuse hante encore ses rues . Le réalisme magique de Cent ans de solitude est enraciné dans Mompox Trouver une bonne tasse de café peut être étonnamment difficile en Colombie: en dépit d’être reconnue pour ses haricots (grains de café), la plupart des haricots de bonne qualité est exportés. Heureusement, les connaisseurs aident à réinventer la boisson nationale dans les grandes villes, alors que la Zona Cafetera, où la plupart des haricots du pays sont produits, est également réputée pour sa bonne bière. Les fruits exotiques de la Colombie sont un moment forts de tout voyage dans le pays. À la tête d’un marché local aux échantillons colorés de fruits exposés: de goyaves magnifiques et délicieux, de fruits du dragon à la zapotes et acidulé, au lulos pulpeuses, obtenir vos cinq fruits par jour n’a jamais été aussi facile qu’en Colombie. La paisible ville coloniale de Zipaquirá, qu’on peut rejoindre par un court trajet en voiture (ou un voyage en train) de Bogotá, abrite l’une des attractions les plus populaires de Colombie: une cathédrale de sel souterraine. Ouvert en 1954, cette église a été taillée dans les gisements de sel souterrain de la ville qui étaient traditionnellement utilisés par les mineurs. Aujourd’hui, c’est un lieu de pèlerinage pour de nombreux catholiques. Une mine de sel souterraine est un endroit improbable pour une cathédrale Le peintre et sculpteur figuratif, Fernando Botero, est célèbre pour ses œuvres satiriques, qui présentent des sujets surdimensionnés sous forme exagérée. Ses sculptures se trouvent éparpillés dans sa ville natale, Medellín, où il possède également une collection permanente au Musée d’Antioquia. Les bateaux Musée Botero à Bogotá sans doute la meilleure collection de ses œuvres, au grand dam de Medellín. Le sculpteur Fernando Botero, est l’un des fils les plus célèbres de la Colombie Oui, il est touristique, comme son nom l’indique, mais ce chemin de fer du patrimoine offre une perspective unique sur Bogotá et la campagne environnante. Au départ de la Sabana, tous les samedis et dimanches, le service offre un voyage à travers la capitale colombienne – des quartiers pauvres du nord de la banlieue sud bien rénovée – avant d’arriver à Zipaquirá, où les passagers peuvent débarquer pour la cathédrale de sel. Il pourrait ressembler à une merveille de la nature, mais le lac de Guatape est en fait le résultat d’un barrage controversé, qui irritait beaucoup de gens qui vivaient dans cette région. L’éthique de côté le résultat est assez bien et pour mieux l’observer, il faut aller en haut de La Piedra (La Pierre), une colline voisine dont le sommet est accessible par un escalier orné de 650 marches. Heureusement, il y a un bar au sommet où vous pouvez être récompensé de vos efforts avec un michelada style colombien (un cocktail comprenant la bière fraîche, citron frais et de sel). L’événement le plus important du calendrier de la Colombie, le Carnaval de Barranquilla est l’un des plus grands du genre, donnant les airs de Rio. Prenant place 40 jours avant la Semaine Sainte, le carnaval dure quatre jours chargés d’intenses manifestations, quand les rues sont remplies de défilés, de musique, de danseurs et de fêtes. Le carnaval est un grand moment pour les touristes nationaux et internationaux, qui sont chaleureusement accueillis par la population locale La vie normale à Barranquilla est dans l’attente du carnaval, ensuite c’est parti pendant quatre jours de folie. Une aire protégée dans le désert du nord de la Colombie, le Parc national de Tayrona a tous les attributs souhaités dans les Caraïbes – palmiers, plages de sable, des lagunes limpides et autres faune et flore – mais il y a aussi une beauté dangereuse et sauvage de cette réserve côtière, qui est rafraîchissante et libre de développement naturel. Le Parc National de Tayrona offre une vue extraordinaire sur les Caraïbes Les îles colombiennes de Providencia et Santa Catalina permettent d’accéder au troisième plus grand système de récifs de corail sur la terre, où les plongeurs peuvent admirer les jardins de coraux multicolores, la vie marine abondante et les navires pirates engloutis sont nombreux. Les îles Rosario offrent également un excellent spot de plongée, à juste un court trajet en bateau de Carthagène. Le bassin amazonien couvre près d’un tiers du territoire de la Colombie, et quelques expériences peuvent être faites, comme une excursion dans cette vaste jungle. Des excursions en bateau partent de Leticia, dans la région Amazonas, à la proximité du parc national Amacayu, qui regorge de superbes oiseaux et de tribus indigènes. Prouver que le crime ne paie pas, Pablo Escobar a construit un vaste ranch à Puerto Triunfo, qui comprenait une maison somptueuse, un musée de l’automobile et le zoo, avec des éléphants, des girafes et des hippopotames. Après qu’Escobar ait été tué par la police, la plupart des animaux ont été transférés dans des zoos colombiens, tandis que son ranch a été transformé en un parc à thème bizarre, qui comprend un petit musée sur la disparition du baron de la drogue. Et les hippopotames? Ils errent encore dans la ville, au grand dam des habitants… Qu’est-il arrivé aux hippopotames du zoo privé d’Escobar? Largement considéré comme la montée à vélo le plus long dans le monde, l’Alto de Letras est un circuit de 80km qui monte à un peu plus de 3700 m dans les montagnes où l’air est rare. Pas étonnant que les Colombiens font de bons cyclistes. L’une des structures les plus spectaculaires de la Colombie, cette église exceptionnelle d’Ipiales a été construite dans le canyon de la rivière Guaitara, qui n’est pas bien un endroit pratique pour construire une église, mais qui donne un résultat spectaculaire. Adresse : Colombie Conseil Calle 12 # Cr 43d – 04, Barrio Manila, Poblado, Medellín, Colombie INVESTIR à MEDELLIN-Hostel 14 Chambres #àvendre -REF: MED012 Localisation: Inventaire Matériel : (Carthagène) Les auteurs célèbres ne font pas que vendre des livres: ils font aussi vendre… des villes. Visite de Carthagène, en Colombie, inspirée de l’oeuvre du grand Gabriel García Márquez. Londres, Stockholm ou encore Barcelone exploitent depuis belle lurette déjà le potentiel touristique de leurs plus précieux écrivains en proposant aux lecteurs fidèles des visites guidées dans les traces de leurs héros en papier ou leurs créateurs, de Charles Dickens à Stieg Larsson en passant par Carlos Ruiz Zafón. Mais Carthagène, elle, vient à peine de découvrir l’attrait exercé par l’un des plus illustres résidants de son histoire, le Prix Nobel de littérature Gabriel García Márquez. Et pourtant! Gabo, comme on le surnommait si affectueusement ici, a été si profondément inspiré par son (très bref!) passage dans la perle des Antilles qu’il a déjà déclaré que tous ses romans avaient des liens – à tout le moins ténus – avec Carthagène. Or, ce n’est qu’en 2011 qu’un groupe d’historiens et de passionnés de littérature ont uni leurs forces pour créer une visite guidée permettant de retracer ces lieux et ces événements qui ont marqué l’auteur de L’amour au temps du choléra. Une guide touristique avait lancé la sienne quelques mois plus tôt, poussée par la demande d’une étudiante britannique. «Étrangement, on n’y avait pas pensé auparavant», remarque-t-elle. Il faut dire que les signes de son séjour ne sont pas faciles à reconnaître au premier abord. Carthagène a certes beaucoup changé depuis le passage de l’auteur, mais elle a aussi été savamment remodelée sous sa plume entremêlant réalisme et fantastique. Sans guide spécialisé, n’espérez pas vous y retrouver, même en ayant lu tous les romans: nous avons logé dans un hôtel à deux pas de la résidence privée que Gabo occupait pendant ses vacances sans jamais nous en douter, jusqu’à ce que la guide dévoile le pot aux roses. Ça change les perspectives. L’histoire de Gabriel García Márquez à Carthagène débute en 1948 dans la plus vieille rue de la cité, la rue des Dames, qui était loin d’avoir le charme et le chic d’aujourd’hui. Il a 21 ans et débarque ici, fuyant un exces de violence qui vient d’éclater à Bogota. Il n’a que 4 pesos et une cigarette en poche. Trop peu pour loger dans la pension El Suiza où un ami devait l’accueillir, mais qui, manque de pot, est absent ce soir-là. Un couvre-feu interdit à quiconque de se trouver dans la rue après 21h. Mais Gabo, intrigué par cette ville mystérieuse, en fait fi et préfère déambuler dans les rues du centre. La police le surprend: il termine sa première nuit au fond d’un cachot humide, lui aussi rue des Dames, qui a été transformé en hôtel de luxe depuis. On n’est guère loin de la rue San Juan de Dios où il décrochera son premier emploi au journal El Universel et fera des rencontres marquantes pour sa carrière, dont celle du directeur de la publication à qui il attribuera l’essentiel de sa formation. Romans L’amour au temps du choléra est le titre où l’on retrouvera le plus de traces concrètes de la ville. Gabo y fait une description précise de la vie et des habitudes de Carthagène, une description si réaliste que ses héros pourraient bien avoir existé, relève-t-on dans l’audioguide La Cartagena de Gabo. Sur ce parcours, on passera rue Roman pour admirer l’édifice jaune, enjolivé de moulures blanches, où habitait le pharmacien à qui le Dr Juvenal demandera conseil pour le traitement des malades. Gabo relate avec précision dans son roman l’épidémie qui, un siècle plus tôt, avait emporté 150 000 malades. Le parc Bolivar aussi y figure, tout comme le portail des scribes, où Florentino part à la recherche de Fermina Danza. Plus loin, la maison de Don Benito servit d’inspiration pour camper certaines scènes de L’amour au temps du choléra (c’était la demeure du père de Fermina), mais l’histoire de son propriétaire inspira aussi De l’amour et autres démons. Place de la Douane, en face de la tour de l’Horloge, on foule l’endroit où le personnage principal de De l’amour et autres démons est mordu par un chien enragé. Les tentes de loteries décrites par l’auteur ont été remplacées depuis par des marchands de bonbons artisanaux de toutes sortes: ne cherchez pas pourquoi on a rebaptisé l’endroit le pavillon des douceurs. Gabriel García Márquez a aussi pris ici des décisions importantes, comme celle de tenir tête à son père en abandonnant ses études de droit pour se consacrer à l’écriture, après avoir réfléchi à la question du haut de la tour de l’Université, un lieu de rassemblement si agréable aujourd’hui, où l’on retrouve de jolies statues de Botero. En fin de journée, la douce lumière ambrée donne au centre-ville historique des airs de décor de théâtre. Quelques légendes. Un peu de mystère. Un certain désordre et le sentiment qu’ici, tout peut arriver: une matière première en or pour le créateur du réalisme magique. «Ce n’est pas pour rien que Gabo a commencé ici son premier roman!», la guide. La Casa ne fut jamais publié, mais servit de matière première à sa grande oeuvre Cent ans de solitude. Toutes les villes ne peuvent se targuer d’avoir inspiré si grand roman. Adresse : Colombie Conseil Calle 12 # Cr 43d – 04, Barrio Manila, Poblado, Medellín, Colombie Bon voyage !!! Jamais une escapade en téléphérique ne vous aura coûté aussi peu cher: 2$, le coût d’un billet d’entrée dans le métro de Medellín. De fait, le relief de la ville est si escarpé qu’il a fallu recourir à la même technologie que celle utilisée dans les centres de ski pour relier le centre-ville à ses quartiers limitrophes. Un service essentiel pour la population. Une attraction à prix tout doux pour les touristes, qui y profiteront des plus belles vues sur la ville. On ne peint très souvent que la façade de la maison, laissant la brique nue sur les murs de côté, donnant à la vallée une jolie couleur orangée, presque rouge à l’heure du coucher de soleil. Info: metrodemedellin.gov.co Medellín est une ville qui aime la nuit. Les bars, les restaurants ouverts bien après le coucher du soleil, les discothèques où les jupes sont aussi courtes que les talons sont hauts. La sécurité s’étant sensiblement améliorée, les jeunes professionnels ont retrouvé leur élan pour se voir dans la «Zona Rosa», un quadrilatère ultra branché aux abords du Parque Lleras où se concentrent certaines des meilleures tables et des terrasses les plus agréables de la métropole. La cuisine du restaurant Carmen est particulièrement réussie, mais le ceviche servi au Triada nourrit aussi de bons souvenirs. Ne manquez pas de faire les boutiques, regorgeant de créations de jeunes designers colombiens. Le plus illustre natif de Medellín, Fernando Botero, aime sa ville et le lui témoigne bien. Le célèbre sculpteur a fait cadeau de plus de 1000 oeuvres au musée d’Antioquia (du nom de la région de Medellín), qui lui a consacré un étage complet, tout en exposant, en plein air et sur une place libre d’accès, une vingtaine de ses plus belles statues. La terrasse du café est fort agréable pour boire un verre à la tombée de la nuit pendant que les vendeurs de fruits coupés, de bonbons et de billets de loterie promènent leurs marchandises sous le regard impassible des colosses boursouflés de Botero. La boutique du musée, qui propose les créations d’artistes de la relève colombienne, est l’une des meilleures adresses en ville pour des souvenirs de voyage de bon goût. Info: museodeantioquia.co (en espagnol) Quelle magnifique reconversion a subie cet ancien atelier de sidérurgie! La première phase, lancée en 2006, a eu tant de succès que le musée a déjà été agrandi, en 2011: le coeur de l’édifice héberge trois grandes salles d’exposition au look industriel, où sont présentés les travaux des plus en vue des artistes contemporains du pays. Les guides sont passionnés et bien formés (visites en anglais offertes). Dans le même immeuble, le restaurant Bonuar (prononcez «beau noir», un clin d’oeil «phonétique» du chef qui rend ici hommage aux contributions de la culture noire dans l’assiette, la musique et les arts graphiques) attire une clientèle bon chic bon genre, avec son look inspiré des bistros français des années 50 et son intéressante carte de cocktails, gins et whisky. Les soirées y sont particulièrement douces. Info: elmamm.org (en espagnol) En plein coeur du Jardin botanique, 10 arbres géants, stylisés en bois et en acier, sont regroupés de manière à créer un espace tempéré et aéré où fleurissent les orchidées comme autant d’oeuvres d’art. En fin de journée, la lumière du soleil teinte d’or la structure gracieuse, théâtre idéal de cocktails et de concerts de musique classique. Le projet a été mené – comme plusieurs autres récemment dans la ville – par un jeune groupe d’architectes de Medellín, qui lui a valu de nombreux prix d’architecture à l’échelle nationale et internationale. Une escapade de choix pour fuir la pollution de la métropole. Info: botanicomedellin.org (en espagnol) Voir aussi: Colombie Conseil Calle 12 # Cr 43d – 04, Barrio Manila, Poblado, Medellín, Colombie L’Amérique latine regorge de vieilles cités autochtones qui font rêver les voyageurs avec leur histoire, leur beauté et leur exotisme. La Sierra Nevada de Santa Marta est située à quatre heures de route de Carthagène. C’est perché au coeur de cette jungle que se trouve la cité perdue des Tayronas. Elle est moins connue que les Machu Picchu ou Chichén Itzá, mais le site que les autochtones appellent Teyuna vaut le détour. Ne serait-ce que pour la cinquantaine de kilomètres de randonnée qu’il faut franchir pour y accéder.
Redécouverte par des chasseurs de trésor dans les années 70, la cité perdue, fondée autour de l’an 800 – 650 ans avant Machu Picchu – a longtemps été écartée du monde touristique en raison des tensions entre l’armée colombienne, les groupes paramilitaires et les FARC. Depuis le milieu des années 2000, la situation s’est beaucoup calmée et l’ancienne cité Tayrona est de nouveau accessible.
Cinq jours de randonnée Le site de la cité perdue est constitué de 169 terrasses gazonnées construites à même le flanc des montagnes. Autrefois, on y trouvait les huttes des Tayronas, dont l’empire couvrait une bonne partie de la côte de Colombie, dont la Sierra Nevada de Santa Marta. L’endroit était accessible par hélicoptère jusqu’à récemment, mais on ne peut désormais s’y rendre qu’à pied, pour des raisons environnementales. L’excursion se fait généralement en cinq jours.
Décembre, janvier et février, soit la saison sèche, est le meilleur moment pour faire la randonnée. Mais peu importe le mois, les voyageurs doivent s’attendre à beaucoup d’eau et de boue en chemin. Lors de notre passage, début décembre, le temps était très simple à prédire: soleil et chaleur accablante le matin, pluie diluvienne l’après-midi. Les excursions sont d’ailleurs organisées autour de cet horaire: on marche le matin et on se réfugie dans les camps l’après-midi.
La première journée est de loin la plus difficile. Après le départ de la ville, tôt le matin, la route en camion est longue. Notamment deux heures sur un chemin de terre tortueux et accidenté vers un petit hameau, où le dîner est servi. De là, c’est le temps d’enfiler les bottes ou souliers de randonnée. Rapidement, on traverse une première rivière à gué. Par la suite, le chemin plonge au coeur de la jungle où la chaleur, l’humidité et le terrain accidenté rendent la marche bien plus ardue, mais aussi beaucoup plus gratifiante. À la tombée de la nuit, après quatre ou cinq heures de marche, sous une pluie torrentielle, on arrive à deux autres rivières, excellentes occasions de se rafraîchir avant d’arriver au camp, à la noirceur.
Les deuxième et troisième journées, beaucoup plus courtes – on ne marche que le matin – permettent pleinement d’apprécier la richesse des paysages et de la végétation, la beauté des rivières, des chutes où l’on peut se baigner et la saveur des fruits tropicaux cueillis à même les arbres. Mais, tout de même, en faisant attention aux serpents. La morsure d’un serpent corail peut s’avérer fatale en moins de 12 heures, prévient le guide.
Ce n’est que le quatrième jour, après une heure de randonnée, qu’on arrive au pied de l’escalier de 1200 marches de pierre construite il y a plus de 1000 ans par les Tayronas.
Il traverse la cité perdue. À son sommet, à 1200 m d’altitude, des militaires se feront un plaisir de nous vendre un coca ou une bière pour nous aider à célébrer notre réussite.
Après une visite du site, qui abritait de 2000 à 8000 personnes à son apogée avant d’être abandonné pendant la conquête espagnole, et un peu de repos, il est temps de prendre le chemin du retour. Cela prendra quelques heures cette journée-là et toute la matinée de la cinquième journée. Suivra un repas copieux au village avant le retour en camion vers Taganga ou Santa Marta, où les plages de sable blanc seront parfaites pour se reposer…
Quoi apporter? En raison de la difficulté de la randonnée et des services offerts, les différents guides suggèrent d’apporter le moins de choses possible. Un sac à dos de jour ; un ensemble de vêtements pour la marche qui sera trempé la plupart du temps par la pluie et la traversée de rivière ; un ensemble de vêtements secs, gardé dans un sac de plastique pour le soir ; les effets personnels et d’hygiène ; une bonne paire de souliers et des sandales ; quelques collations ; une lampe de poche. Et beaucoup de chasse-moustiques NB: Des itinéraires plus courts sont proposés réalisables en 1 journée, renseignez-vous auprès de Colombie Conseil. Adresse : Colombie Conseil Calle 12 # Cr 43d – 04, Barrio Manila, Poblado, Medellín, Colombie
Comme hier, nous prenons notre petit déjeuner à l’hôtel, aujourd’hui la serveuse parle l’anglais, ce qui nous facilite un peu plus les choses pour commander. Notre guide francophone nous rejoint en taxi à l’hôtel vers 8 heures. Ensuite, nous partons en direction de la gare routière « Terminal de Transportes Del Norte ». Accompagné de notre guide, nous prenons un bus tipico (typique) pour 2 heures de route. Au programme: le village de Guatape à deux pas de la Piedra del Peñol (Pierre du Peñol ).
Sur la route qui nous mène à Guatapé il pleuviote, malgré cela la température est de 25°c. A notre arrivée à Guatape il a cessé de pleuvioter, la météo s’améliore, progressivement le soleil fait son apparition. Dans le village de Guatape, nous faisons un tour à pied. Toutes les façades des murs des maisons sont décorées de couleurs flamboyantes, la particularité des soubassements des habitations est d’être ornée de fresques représentant des scènes de la vie quotidienne qui sont appelées des zocalos.
Notre guide nous arrête un moment à la terrasse du café sur la place du village le temps de réserver un tour en barque sur le lac pour l’après-midi. A son retour, nous continuons la visite des petites ruelles pavées, nous visitons l’église.
Le village de Guatape est très agréable à visiter.
Nous finissons notre balade sur le port. Là notre guide nous présente notre capitaine pour la balade en barque sur le lac, il s’appelle Carlos, il est vêtu d’une chemise rouge vive, et d’un chapeau blanc type panama, bien dans les tons des couleurs locales. Nous convenons de l’heure de la balade pour le début d’après-midi, juste après le déjeuner. A propos du déjeuner, notre capitaine avec l’assentiment de notre guide, nous indique un restaurant sur le port où il est servi le plat local : la trucha à la parrilla (la truite sur le grille) la meilleure trucha asados du village assure-t-il. Nous nous installons à la terrasse. Pour les hommes ce sera une Club Columbia (bière locale), pour les femmes une limonada maison, et bien sûr de la trucha a la parrilla pour tout le monde. Je ne sais pas comment sont servies les truites grillées dans les autres restaurants de Guatape, mais celles que nous avons dégustées étaient très savoureuses, un véritable moment de bonheur. Après un prostré (dessert) et un café « colombien », nous demandons la cuenta (l’addition). En début d’après-midi nous retrouvons notre capitaine Carlos sur le port. Nous embarquons avec lui pour une excursion autour du lac. En fait de barque, il s’agit d’un bateau à moteur pour une dizaine de personnes, doté d’une toiture en toile pour protéger du soleil et de la pluie, de banquettes. Avant de monter à bord le capitaine nous tend les gilets de sauvetage, il s’assure ensuite un à un de leur réglage personne après personne. Nous débutons le tour. Tout d’abord, il nous fait passer devant des propriétés somptueuses donnant sur le bord du lac, notre guide annonce les noms des propriétaires. Nous commençons par celle de James Rodriguez [prononcer Rames] le joueur de foot du ex-joueur du Réal Madrid, désormais au Bayern de Munich, meilleur joueur de la coupe du monde 2014, bien connu en France pour avoir joué en ligue 1, la saison en 2014 à Monaco, une idole en Colombie. Puis vient celle d’un autre colombien peut-être plus célèbre que James, c’est celle de Pablo Escobar, ou ce qui l’en reste. L’ensemble de ses biens a été confisqué par l’état colombien, explique le guide. L’immense villa plantée de palmier s’appelait la Manuela, est à présent une ruine, dévastée tour à tour par l’armée, la CIA, la police colombienne, les pillards à la recherche du trésor du narcotrafiquant…nous explique-t-on Pablo Escobar du temps de sa splendeur avait pris la précaution d’acheter toutes les propriétés du voisinage afin de loger sa famille et de ne pas être inquiété ou trahi. Aujourd’hui encore les villas voisines sont occupées par la famille, mère, frère, tante… Du bateau nous distinguons les tunnels percés dans la colline servant de caches. D’après ce qu’on raconte il y avait sur l’hacienda, un terrain de football, une piste d’atterrissage, un héliport, un zoo, par ailleurs c’était une véritable forteresse…
Nous poursuivons notre visite par l’ancien hôpital, seul bâtiment du village rescapé de la noyade. Aujourd’hui, cet hôpital est transformé en musée, où sont retracés les derniers jours de l’ancien village, avant d’être englouti par les eaux du lac lors de la construction du barrage. En fait le nom de Peñol vient du nom de ce village, où seul subsiste aujourd’hui encore la croix du clocher de l’église qui sort hors des eaux.
Quant à l’hôpital , avant de devenir un musée, il était la propriété d’un docteur qui faisait payer la consultation plus cher aux riches afin de soigner gratuitement les pauvres, explique le guide des lieux. Sur le chemin du retour pour Guatape, Carlos nous montre les grands complexes éco-hôteliers, respectueux de l’environnement et bien intégrés dans le paysage. A notre retour sur la terre ferme nous empruntons des taxis triporteurs qui nous conduisent au pied la Piedra del Peñol (la pierre du Pañol) à deux pas du village de Guatape. Pour accéder au sommet du rocher une plaque indique qu’il y a 649 marches à gravir et qu’au sommet on peut observer une vue imprenable sur le barrage d’eau qui vous entoure.
Fatigués par la journée nous choisissons par l’option d’observer le panorama du haut du promontoire au pied de la pierre volcanique du Peñol, le point de vue est déjà pas mal. Nous redescendons du promontoire et empruntons à pied le chemin jusqu’à l’arrêt du bus. Le bus arrive quelques minutes plus tard, encore 2 heures de route et nous arrivons à Medellín à la nuit. Nous remercions notre guide pour cette magnifique journée , et pour finir nous allons en soirée, dans un restaurant ; La Cantine Cocina Bar Vinos … tout un programme l’endroit est chaleureux… Après c’est excellent dîner, nous rentrons à notre hôtel en taxi bien satisfait de notre journée… Nous arrivons à notre lieu d’hébergement; l’hôtel Egina dans la calle 47, non loin de la carrera 70. Notre chambre est disponible, nous en prenons possession. L’hôtel est bien situé, à deux pas de la station de métro Estadio, donc proche du stade municipal, le stade Atanasio Girardot. Un bon repaire pour regagner l’hôtel en taxi. Notre guide prend congé après nous avoir fait un peu de change en argent local. Il nous donne rendez-vous pour le lendemain à 8h30 à la réception de l’hôtel. Pendant notre séjour à Medellín sur le conseil de notre guide nous allons utiliser couramment le taxi comme moyen de transport. En effet, c’est le mode de transport le plus économique à partir de trois ou quatre personnes, moins cher que le métro. Medellin – JOUR 2 Nous nous levons et allons prendre notre petit déjeuner à l’hôtel. Vers 8h30 notre guide tout sourire nous attend à la réception de l’hôtel. Nous partons ensemble à pied en direction de la station de métro pour une journée de visite. Le métro c’est le meilleur moyen pour nous s’imprégner de l’atmosphère de Medellín dit le guide. Il nous propose de commencer par la visite du Parque Arvi situé sur les hauteurs de Medellín puis de continuer par la visite du centre ville. Nous prenons le métro à la station Estadio. A la station Andalucia, nous changeons pour emprunter le métro câblé. La cabine du téléphérique survole les Barrios défavorisés de Medellín; Villa Niza, la Isla, la Esperanza. Le point de vue panoramique sur la ville est impressionnat. Puis à la station Santo Domingo Savio nous prenons une autre ligne de métro-câble qui après avoir survolé le Barrios Carpinelo nous emmène au Parque Arvi. Notre guide explique: Le Parque Arvi est une zone protégée dans les montagnes à proximité de Medellin, 2 milions d’habitants, ce qui semble incroyable. les Activités à faire dans le parc vont de la randonnée, à l’équitation et aux pique-niques. Le Parque Arvi est un parc d’écotourisme qui s’étend entre Piedras Blancas, Mazo, Barro Blanco Piedra Gorda, silloné de sentiers écologiques, de sentiers indiens et équipé même d’aires de camping. Il est idéal pour les amateurs de vertige et d’aventure. C’est un concept de loisirs qui propose des visites guidées à travers les arbres de la forêt avec différents niveaux de difficulté et pour tous les âges. Il y a pas mal de sentiers écologiques, un auditorium, un cinéma 4D et jeux de plein air, des collections d’orchidées.
Il est possible également d’acheter des produits de l’artisanat de la région dans le marché Arvi. Ce parc de 1761 hectares de forêts, enchaîne le guide, est l’une des ressources naturelles les plus importantes pour la région, car elle préserve la qualité des eaux qui se jettent dans les vallées de Aburrá et San Nicolas. En outre, il est l’habitat de fleurs, mousses, champignons, des grenouilles, des oiseaux, des papillons et de nombreuses autres espèces qui sont essentielles à la préservation de la forêt. Au cours de notre circuit dans la forêt, nous faisons une halte à une exposition dans des serres de cataractes et autres insectes endémiques ; mygale, papillons… nous avons choisi une demi-journée pour visiter le parc, le guide nous dit qu’une bonne visite ce fait pour lui en 1 journée. En fin de visite nous reprenons le métro-câble pour redescendre sur Medellín. Un coup de métro plus loin nous nous retrouvons au cœur de la ville, place Botero, bordée par le Musée d’Antioquia, bâtiment style Art déco. La plaza Botéro est un endroit inattendu, des sculptures imposantes en bronze la jalonnent. Parler de Medellín sans parler de Botero serait juste impossible, c’est l’un des artistes les plus célèbres de Colombie et peut-être un artiste contemporain des plus prolifiques . Pour le guide, aucune visite guidée de la ville serait complète sans une promenade à travers la place Botero et les sculptures de l’artiste. Nous déjeunons dans un restaurant typique sur la place Botero. Puis nous allons prendre quelques photos des sculptures exposées, véritable musée en plein air. Nous allons ensuite visiter le musée d’Antioquia.
Le musée d’Antioquia nous dit le guide est le plus important de la région d’Antioquia et l’un des plus connus en Colombie. Le Musée d’Antioquia possède la plus grande collection au monde d’œuvres de Fernando Botero. Elles y sont exposées sur 3 niveaux, (collection de peintures et sculptures du même Botero). On y trouve aussi des œuvres précolombiennes.
Après avoir visité le musée, nous allons déguster en terrasse au « Café –Bar » du musée un excellent café colombien qu’ils s’appellent « café américano ». La terrasse domine la place Botero très animée à cette heure-ci. C’est un lieu de rencontre pour les Paisas (nom donné aux habitants de Medellín), il y a beaucoup de vendeurs ambulants, de familles, de badauds. Le trafic y est intense, ici on se croise, on s’interpelle, on s’arrête, on se parle, un véritable lieu d’échanges… Après un long moment d’observation sous un soleil radieux, nous finissons par faire un lien entre les formes généreuses et arrondies de certaines Paisas et l’œuvre de Botero exposée au musée. Parmi les rues adjacentes de la place on en remarque une très animée et colorée par ses étals. Nous décidons de nous y rendre, notre guide nous accompagne. C’est un marché de fruits exotiques locaux où abondent toutes sortes de produits et d’effluves. C’est un véritable plaisir olfactif de le traverser. Nous arpentons la rue dans un sens puis dans l’autre simplement pour le bonheur des yeux et de notre odorat. Nous nous arrêtons à un étal afin d’observer une femme mixant des mûres pour en faire une sorte de sirop. Nous apprenons par notre guide que ce type de breuvage est une boisson très prisée en Colombie.
Après la visite du quartier, notre guide nous invite à prendre un jus de fruit à la terrasse d’un bar « le tutti frutti » ou une chose de ce genre. La carte propose de nombreux jus de fruits frais et mixés, lulo, ananas, fraise, melon, goyave, papaye, maracuja (fruit de la passion), limon accompagnés de lait, ou à l’eau, ou de yaourt ou mélangé avec de la glace… toutes les combinaisons semblent possibles… nous prenons des consommations différentes afin de les goûter, elles sont excellentes mais aussi très nourrissantes… Nous terminons la journée par une visite en taxi de différents quartiers de Medellin. Nous faisons une halte dans les rues piétonnes du Quartier Carabobo , puis nous rentrons à l’hôtel bien satisfaits. Sur le chemin du retour le guide nous promet une autre découverte des fruits et jus de fruits exotiques colombiens… Nous avons effectué un bon vol, nous commençons à descendre sur la Colombie. Il est 15 h 04, heure locale. Après 10 heures de vol et 7 heures de décalage horaire nous atterrissons à Medellín via Madrid. Après notre descente d’avion nous passons rapidement la douane et nous nous dirigeons vers le tapis roulant pour récupérer nos bagages. Nous attendons patiemment devant le convoyeur à bagages que nos valises arrivent. A proximité du tapis dans un coin se trouve un chien plongé dans une profonde léthargie. Le convoyeur à valises se met en marche, soudain une scène toute à la fois sérieuse et comique se déroule sous nos yeux. A la mise en route du tapis roulant, le chien se lève, saute sur le tapis, adopte une démarche nonchalante et se dirige à la rencontre des valises. Puis il flaire systématiquement chaque valise, les unes après les autres. Parfois il s’arrête sur vers l’une d’elles et se couche confortablement dessus. Du coup son maître posté à deux pas de lui place un collier plastique à la poignée de la valise. Elle sera fouillée de fond en comble par la suite par le service de la douane. Nous passons après cet intermède les dernières formalités administratives avant de regagner la sortie de l’aéroport. Une fois dehors, il fait un temps nuageux et chaud sur Medellín, il règne une température d’environ 30°c. Nous contactons téléphoniquement notre guide, il est en route pour l’aéroport dans le taxi nous répond-t-il, nous patientons devant l’entrée principale de l’aéroport en attendant son arrivée. Quelques mots sur la Colombie. La République de Colombie, est une république constitutionnelle comprenant 32 départements. Le pays est situé dans le nord-ouest de l’Amérique du Sud ; il est bordé à l’ouest par l’océan Pacifique et le Panama, au nord par la mer des Caraïbes, à l’est par le Venezuela et le Brésil, au sud par l’Équateur et le Pérou. Avec plus de 46 millions d’habitants, la Colombie est le 27e pays le plus peuplé du monde et le 3e de tous les pays de langue espagnole après le Mexique et l’Espagne. La Colombie est une moyenne puissance, la 4e plus grande économie d’Amérique latine, et la 3e en Amérique du Sud. La production de café, de fleurs, d’émeraudes, de charbon et de pétrole forme le principal secteur de l’économie colombienne. La banque HSBC estime que la Colombie pourrait faire partie des plus grandes économies mondiales d’ici 2050. Notre guide arrive avec son taxi attitré, celui qu’il appelle régulièrement pour aller chercher les touristes à l’aéroport, nous explique-t-il. Nous embarquons et parcourons les 25 km qui nous séparent de l’aéroport de Medellín. Le guide commente le parcours, beaucoup de nouvelles constructions fleurissent de part et d’autre de la route, ici un complexe hôtelier, là un centre d’affaires, plus loin le siège d’une grande entreprise internationale, puis d’autres bâtiments High Tech. destinés aux stockages… Pour lui qui connaît bien le parcours, la Colombie, mais plus particulièrement Medellín franchit depuis peu un nouveau cap avec du business en perspective… en tout cas les investisseurs sont là. Bogotá DC, Janvier 13, 2017.- La Colombie engage l’un de ses plus grands défis avec le lancement de 12 corridors touristiques avec le ministère du Commerce, de l’Industrie et du Tourisme. En effet elle cherchera à amener des millions de touristes nationaux et étrangers à des endroits qui jusqu’à présent n’étaient pas visités, intégrant ainsi 311 municipalités des 32 départements.Plus de 221 actions qui sont déjà établies dans des activités qui vont se développer dans les zones touristiques, ce projet va générer et renforcer l’emploi, la productivité, la compétitivité, la durabilité, la formalisation, la sécurité et l’ éducation à travers les écoles Amis du Tourisme . Cela a été annoncé par le ministre du Commerce, de l’ Industrie et du Tourisme, Maria Claudia Lacouture, qui a expliqué que dans les 12 courtiers segments, a été donné la priorité par le Ministère , en collaboration avec les autorités locales, au tourisme de nature, la culture, la gastronomie sont intégrés, l’ observation des oiseaux, la santé, le bien – être et de réunions. Il en est que les touristes, en plus d’ aller à l’ un des sites touristiques classiques, voyageront sur d’ autres secteurs dans le même territoire, ce qui fera une extension transparente. «Elle vise à réduire la saisonnalité dans certaines destinations, offrant plus d’ options dans la même région, de sorte que les touristes ne restent pas dans un seul endroit , mais se déplacer sur un plus large territoire », a déclaré le ministre du Commerce, de l’ Industrie et du Tourisme, Maria Claudia Lacouture . Pour ce faire les agences de voyages peuvent offrir des forfaits pour chaque corridor, comme ils le font déjà certains avec le café, le premier à être lancé. Dans chaque couloir plus de produits attrayants qui existent dans la région se réunissent, générant plus et de meilleures options pour le tourisme et le développement des municipalités qui ne sont pas visitées ou étaient isolées par des troubles des régions voisines. Les régions sont les plus favorisés, car cette opération permettra d’ accroître leur compétitivité et le développement des services d’infrastructure et du tourisme, pour lesquels le soutien des autorités et de l’ engagement des entrepreneurs dans chaque domaine local et régional est nécessaire. « Nous relions une destination connue à celles qui ne le sont pas et rechercher celles qui ont la même compétitivité , » a déclaré le ministre Lacouture. Les objectifs des courtiers sont: Intégration avec les régions à vocations touristiques complémentaires. Le ministère du Commerce, de l’ Industrie et du Tourisme a travaillé avec les régions pour identifier les points forts et les défis et à concevoir le tourisme le plus complet et concurrentiel. La sélection des municipalités et des courtiers a été faite en tenant compte de divers aspects tels que la connectivité (air, terre, mer et rivière), les attractions touristiques avec la demande de capacité élevée, celles qui ont des fournisseurs de services et une offre commercialisable; et étant investi ou peut investir dans le secteur, entre autres. Entre 2011 et 2016 , le gouvernement a investi 745,823 millions $ dans 226 projets et initiatives 474 214 infrastructures touristiques et de compétitivité. Un total de 152 projets d’infrastructure comprennent des quais, des marinas, éco-tours, chambres hyperbares, entre autres œuvres. « Grâce à cette stratégie , nous espérons que le tourisme va augmenter de 30% jusqu’en 2018, qui visent à générer une plus grande promotion de ces destinations nationales et internationales , » a déclaré le ministre Lacouture. Pour chaque corridor , il a fourni au moins un mégaprojet à fort impact, qui sera le centre de développement de chacun. Il y a trois phases dans la définition des corridors. La première est de monter le portefeuille de services pour correspondre à l’ offre. Le second, établir le portefeuille de services pour le marché intérieur et le troisième, faire le portefeuille pour le marché international. Dans cette dernière phase sont le café Paysage culturel Corridor (PCC), la fleur de la mer et le corridor des Caraïbes. Les destinations qui font partie de ce groupe auront le premier investissement et la promotion. Dans la deuxième phase sont concernés les courtiers du Golfe Morrosquillo et Savannah; Pacifique, le Nord -Est , centrale, du sud et de Antioquia-Chocó. Ces courtiers sont de ceux qui ont besoin d’ un processus pour terminer leur produit touristique. Le Ministère du commerce, de l’ industrie et du tourisme doit renforcer et développer des projets d’infrastructure, de la culture, le bilinguisme, la formalisation, la compétitivité, entre autres. Dans la première phase sont concernés les courtiers Llanos, Orénoque et Selva. Ce groupe se compose de ces destinations touristiques qui ne disposent pas d’un secteur des produits mis en place. Le ministère du Commerce, de l’ Industrie et du Tourisme va développer son portefeuille de tourisme. « La Colombie est l’ une des destinations touristiques et économiques qui génèrent de grandes opportunités à l’ échelle nationale. Les portes sont ouvertes pour ceux qui veulent venir vivre une expérience unique et inoubliable « . Il a déclaré le ministre du Commerce, de l’ Industrie et du Tourisme, Maria Claudia Lacouture. Les 12 courtiers sont: RUNNER DU TOURISME PLAINS: TOURISTIQUE CORRIDOR Orinoquia TOURISTIQUE CORRIDOR DE LA JUNGLE GULF RESORT CORRIDOR ET SAVANNAH Morrosquillo PACIFIQUE TOURISTIQUE CORRIDOR NORD CORRIDOR TOUR TOURISTIQUE CENTRAL CORRIDOR TOURISTIQUE CORRIDOR SUD TOURISTIQUE CORRIDOR Antioquia et Choco TOURISTIQUE CORRIDOR SEA FLOWER CARAÏBES TOURISME CORRIDOR France Colombia Si vous avez aimé cet article, n’hésitez pas à le partager sur Facebook, twitter, LinkedIn, Google+ ou l’un de vos réseaux sociaux. N’hésitez pas à en faire part en commentaire. Adresse : Colombie Conseil Calle 12 # Cr 43d – 04, Barrio Manila, Poblado, Medellín, Colombie21 raisons pour lesquelles la Colombie devrait être votre prochaine destination de vacances
Elle a tourné la page avec son passé récent.
Bogotá est en plein essor
Medellín incontournable est sur la carte
L’art de la rue est exceptionnelle
Découvrir l’atmosphère de Carthagene
Il y a une ville perdue
Vous pouvez danser dans toute la nuit dans les clubs de salsa
Il y a de la magie dans Mompox
Le café ne pouvait pas être plus frais
Les fruits exotiques abondent
Il y a une cathédrale souterraine de sel
Vous n’êtes jamais loin de l’art de Botero
Il y a un chemin de fer touristique du patrimoine
Guatape est magnifique
Il est l’un des plus grands carnavals du monde
Et l’un des plus beaux parcs nationaux d’Amérique du Sud
La plongée est magnifique
L’Amazone n’est jamais loin
Vous pouvez ouvrir la porte de la maison d’Escobar
Il y a la plus longue montée du monde
Et la cathédrale épique Las Lajas
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Medellin – Les incontournables
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La cité perdue des Tayronas
Randonnée vers les ruines des Tayronas, perdues dans la jungle.
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Visite de Medellín et la région d’Antioquia. (Partie 3)
Programme du jour: Medellin / Guatape – Piedra del Peñol.
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Visite de Medellín et la région d’Antioquia. (Partie 2)
Visite de Medellín en métro cable et à pied.
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Visite de Medellín et de la région d’Antioquia (Partie 1).
Destination Medellín
Au bout de trois-quarts d’heure de route nous arrivons sur Medellín. Nous traversons rapidement la ville qui semble très étirée sur de nombreux kilomètres dans une vallée où coule le Rio Medellín. La ville remonte très haut sur les versants très pentus des collines voisines, plus on monte plus les constructions semblent précaires. Medellín située dans le département d’Antioquia, avec plus de 3 millions d’habitants est la deuxième ville de Colombie derrière Bogotá la capitale. Le climat connaît très peu de variations saisonnière de température au cours de l’année, c’est pourquoi Medellín est appelée la ville de l’éternel printemps.
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Investissement: 12 courtiers touristiques seront le moteur des régions
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